Coucou <3

bonjour
SONS BBC:

bbcsfx.acropolis.org.uk
https://link.springer.com/book/10.1007%2F978-981-10-0321-9
L’histoire des applications et des implications de l’intelligence artificielle dans le domaine des arts
Le mot robot vient du slave ancien « Rob » qui veut dire « esclave »
Karel Capek le met en scène de théâtre pour la première fois en 1920 à Prague
Un robot est à la fois la forme physique du robot tel qu’elle nous a été présenter à travers la fiction mais c’est aussi le logiciel informatique. Le processus qui consiste à travailler avec des algorithmes.
Tout cet art n’est pas froid, il est chaud, il est enveloppant, immersif, interactif, physique et sensuel.
Il présente une expérience très inédite pour le public.
pour la première fois au grand palais on voit une oeuvre en train de se faire, une sorte de vaste atelier. Des artistes, des robots, des artistes-robots, des robots-artistes montrent le procédé de fabrication d’une oeuvre d’art.
une machine ou un robot peut elle doubler un artiste?
Orlan et murakami avec leurs androids ont créés des sortes de corps augmentés, qui sont un peu leurs alter egos, un dépassement d’eux même pour tendre peut être vers une immortalité à la fois de leur corps mais aussi de leur pensée d’artiste.
Cette exposition pose la réflexion de la place des robots à notre époque mais elle la pose de manière particulière; c’est à dire à travers les oeuvres d’art or un artiste n’est pas un scientifique ni un technicien, c’est quelqu’un qui fabrique des formes. Des formes pour provoquer en nous des affectes, des sentiments.
C’est très différent du travail d’un ingénieur qui produit des robots pour qu’ils servent.
D’une certaine manière l’art ne sert à rien, c’est pour ça qu’on y est attaché.
On sait désormais qu’il y a une intelligence artificielle mais peut il y avoir une imagination artificielle?
c’est la question à laquelle on essaie de répondre à travers cette exposition.
Article dans Le Monde sur Hiroshi Ishiguro :

Ce « geminoid », comme il l’appelle, est l’un des robots actuels dont l’apparence est la plus proche de l’homme. Mais pourquoi s’être choisi comme modèle ? « Je voulais me surprendre moi-même », explique-t-il au Monde.
« Je ne connaissais pas mon visage. En fait, personne ne connaît son visage. Votre reflet dans le miroir est une image inversée de votre visage, c’est une personne très différente que vous voyez. Nous ne connaissons pas non plus notre voix ni la façon dont on bouge. Les photos et les vidéos sont en deux dimensions. L’androïde, lui, est en trois dimensions et il évolue dans le même espace que moi. »

Mais le geminoid sert aussi à travailler sur la question de la présence humaine : « Qu’est-ce qu’une présence humaine ? », « Peut-elle être projetée à distance ? », interroge le chercheur sur son site Internet.

Equipé d’un programme de reconnaissance vocale et de conversation, il est capable d’avoir une conversation rudimentaire avec ses interlocuteurs, d’une voix artificielle et un peu saccadée. Si le programme réussit à comprendre les phrases de ses interlocuteurs malgré un important bruit de fond – le deep learning a permis des progrès considérables dans ce domaine ces dernières années –, les réponses du robot restent très limitées.
La sculpture spatiodynamique et cybernétique CYSP 1. est la première sculpture qui réalise dans sa totalité les principes du spatiodynamisme. Ce mouvement, que j'ai créé en 1948, a pour but la libération totale de la sculpture. Les conditions de cette libération sont:
- la suppression des volumes opaques et l'utilisation exclusive de l'ossature apparente contrepointée par les rythmes des éléments plans,
- l'utilisation de la couleur et des sons extraits par percussion de la sculpture même, enregistrés et diffusés électroniquement,
- et finalement, le mouvement autonome, organique, disons même intelligent, grâce à la cybernétique, qui permet à la sculpture d'offrir aux spectateurs un spectacle toujours varié et différent réalisant dans un seul objet une synthèse totale entre la sculpture, la peinture, la chorégraphie, la musique et le cinéma.
Ce sculpteur de lumière, ce cybernéticien de notoriété mondiale, a créé une oeuvre agissant sur la sensibilité artistique, sur le comportement psychologique ou même physiologique des spectateurs ; en effet, avec le LUMINO, Nicolas Schöffer nous offre un spectacle sans cesse renouvelé, et pour chacun unique. Cette synthèse de la couleur, de la lumière et du mouvement est un symbole : c'est peut-être la réconciliation entre l'Homme et l'Art
Mouvement de l’Art cybernétique :


Artistes représentatifs
Nicolas Schöffer
Bernard Quentin
Maurice Demers
JEAN painlevé

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